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L’AMBIGU

De Roland Topor

Dom Juan découvre la partie féminine qu’il abrite 

en lui à son insu. C’est le coup de foudre.

La machine infernale s’emballe.

Distribution

Mise en scène

Carmen Samayoa

Avec

Fabrice Delorme

Chorégraphies

Shimehiro Nishikawa

Création lumières

Otmane Abdesselam

Chanson

Roland Topor, Reinhardt Wagner

Création visuelle

Alysse Pocquet

Remerciements

Ville de Foix, Conseil départemental de l’Ariège, Edition Bernard Dumerchez,

Nicolas Topor, Thomas Perriau Bebon, Hippolyte Broud, Nelly, Caroline Roque, Clotilde Bernard, Greta Sargsyan, Claire Tavernier, Gaëlle Vendrely, Théâtre National de la Colline, Pascal Dussol.

Résumé

Fatigué par le jeu cruel des amantes qui pleurent et geignent, Dom Juan s’est réfugié dans une vieille demeure. Il aspire à connaître enfin la sérénité.

C’est alors que se révèle, tapie en lui, la partie féminine, ô combien désirable, qu’il abrite. C’est aussitôt l’amour fou, passionnel et passionné qui le pousse à explorer les frontières de son moi. Infailliblement la question du genre surgit mais pas dans son état habituel. 

Ennemi de l’esprit de sérieux Topor ne voulait pas d’un théâtre d’idées reçues.